Vers 1925-1928, il s’oriente vers les ouvrages hydrauliques, avec d’abord la réalisation de la chute de Diège. Une spécialité dans laquelle sa société allait bientôt exceller, comme lors de la construction du barrage de Marèges (1930-1935) sur la Dordogne où s’illustra son fils Marcel Ballot (1900-1935), centralien.
Après le décès de ce dernier, ce fut son frère Jacques qui assura la continuité de l’entreprise jusqu’en 1960.
Sous sa direction, l’entreprise édifia des ouvrages exceptionnels tels que le barrage de l’Aigle en amont de Marèges, celui du Dokan en Irak ou encore celui de Grandval sur la Truyère.