Installé dans le Dauphiné à partir de 1867, il se fait alors le promoteur de l’équipement des hautes chutes, comme source d’énergie pour la fabrication de pâte à papier.
C’est ainsi qu’il mène, dans des conditions périlleuses, l’aménagement d’une chute de 200 mètres en 1869,puis de 500 mètres, en 1882,sur le ruisseau de Lancey. C’était, à l’époque, les plus élevées en France.
Véritable apôtre de l’utilisation de l’énergie hydraulique accumulée dans les neiges et les glaciers, il sut trouver, pour la désigner, un terme propre à frapper l’imagination : celui de « houille blanche », promis par la suite à une belle postérité.